IPhone ILove

Il faut que je l’avoue, je crains que la geekerie me guette.

Je me suis fais hyper peur ce soir en découvrant cette pente fâcheuse que laquelle je glisse, je glisse … Bon en même temps, faut se détendre, je ne suis pas en train de m’emballer sur une astuce de développement PHP ou un truc dans le genre. Faut pas pousser quand même. Juste, je m’emballe pour le Iphone, le téléphone qui fait tout d’Apple. En même temps, je trouve que c’est relativement avouable comme geekerie.

Voilà. Donc aujourd’hui, j’assistais à un séminaire Groupe qui portait sur le online et les technos digitales. Et là, 3 des membres de l’assemblée avaient un Iphone. Déjà, 1er repérage dans le noir, pendant la projection d’une étude. Moi à mon gentil voisin « t’as vu, il a un Iphone ». Un peu comme si je lui montrais la dernière paire de pompes YSL ou un it bag. Inutile de préciser que là déjà, je me surprends. Et en fin de journée, autour d’une coupette de champ’, je remets ça, je m’emballe sur le Iphone. Voilà, y a rien à dire, il est carrément canon et vraiment, pour mettre dans sa petite pochette de rigueur cet hiver, il sera vraiment parfait.

En même temps, il faut se l’avouer, on le trouve canon car il n’est pas vendu en France et que les seuls qui en ont un sont des happyfews qui, d’une part, on réussit à trouver un pote qui pouvait le ramener des US et qui, d’autre part, on put le faire « désimlocker ». Est-ce que quand il sera dispo chez Orange, on aura vraiment envie de l’avoir ? Je ne sais pas mais j’en doute.

C’est un peu comme les chewing à la cannelle. C’est bon à NY (bon, il faut que vous sachiez qu’en dehors de NYC, j’ai du mal à considérer les US) mais une fois ramener à Paris, c’est carrément moins bien. Et cela vaut avec une infinité de choses : elles sont bien à consommer sur place, mais elles ne s’exportent pas. Je suis sûre par exemple que vous avez rapporté de vos torrides vacances grecques une bouteille d’Ouzo, inbuvable à l’intérieur du périph. Idem pour les papyrus égyptiens : toujours bien sur les bords du Nil, vraiment ringards sur la ligne 12. Quoi que là, même sur les bords du Nil, c’est limite.

Je suis « early adopter » ou comment Vénilia a changé ma life

Comme tous les lundis que Dieu fait, j’avais hier mon ELLE adoré dans ma boite à lettres. Du coup, tous les lundis soirs sont occupés par une lecture religieuse de mon magazine favori.

Et là, quelle ne fut pas ma surprise de voir, dans les pages genre « Dynamiser votre rentrée en faisant plein de trucs », une proposition de customisation de placard avec du Vénilia imprimé panthère. Et là, moi je hurle de joie : ça fait 3 ans que j’ai fait ça dans MES placards !

Et ça, avoir adopter la tendance 3 ans avant ELLE, c’est carrément jouissif, signe de l’esprit incroyablement trend setter qui m’anime. Je suis même à 2 doigts de prendre des photos de mes placards pour les mettre ici que vous puissiez admirer ce formidable travail.

Car en plus, j’ai adopté un principe de rangement dans ces placards tout à fait miraculeux. En effet, il est plutôt destiné à la partie penderie + chaussures. Or, j’ai beaucoup de chaussures, d’où un problème assez récurrent de rangement. Car évidemment, on n’a beau s’acheter que des godasses Prada ou Marc Jacobs, y a pas une boite qui fait la même taille que l’autre, parce que bien sûr, je gardais chaque paire dans sa boite d’origine. je devrai d’ailleurs dans Facebook lancer un groupe de réflexion sur le sujet qui pourrait même devenir un groupe d’influence auprès des fabricants de boite de chaussures.
Donc, au bout d’un moment, plus rien ne va, certaines dépassent outrageusement, d’autre s’abîment, bref, la merde. En plus, on n’est pas à l’abri qu’une paire de Gucci aille prendre la place d’une paire de Vuitton et là, c’est le drame assuré.

Et c’est la où MUJI intervient.

Un homme formidable chez eux a inventé la boite à chaussures translucide. Donc tu achètes les belles boites MUJI, tu ranges tes godasses dedans – bon moi en plus j’ai des pieds de nain donc je peux mettre 2 paires par boite, et hop le tour est joué, tu as un empilement de boites parfait, avec rien qui dépasse. Une merveille j’ai envie de dire. Comme j’ai également l’esprit hyper pratique, j’ai collé dessus des petites étiquettes avec le nom de chaque paire. Est-ce que c’est pas du beau boulot ça ?

Voilà, je suis hyper fière de mes placards, à tel point qu’ils pourraient devenir une attraction parisienne au même titre que Colette ou l’Eclaireur.

Facebookeries

fb_ok.jpgComme tout le monde, je passe une grande partie de mon temps (libre il va de soi, je ne suis pas du genre à faire ce genre de truc au bureau) sur Facebook, LE site qui a détrôné Myspace que Murdoch il doit s’en mordre la perruque.

Notez bien que je n’ai jamais passé plus de 15 mn sur Myspace et en plus c’était pour la bonne cause : le soutien des groupes de ma NS.

Donc, dans toutes les soirées et les dîners mondains qui agitent la capitale depuis la rentrée, on ne parle que de Facebook, le social network à la mode. Tout le monde y est, on se poke, on se mord, on picolle. Voire même on teste ses affinités cinématographiques avec son réseau et là, on découvre qu’on est « l’âme soeur » d’une vague connaissance croisée justement au dernier apéro en date et pas sa meilleure cops. Car c’est pas parce qu’on ne se connait pas qu’on ne peut pas être son âme soeur non ?

Sarah, sur son « Mes images qui bougent », propose une petite vidéo assez croquignolette sur le sujet qui a le mérite de recadrer complétement le débat sur FB et surtout sur l’utilité de FB.

Bon, je me tire, je vais faire du Facebook.

Le jour où je défends Rachida Dati

Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas parler de Julien. Mais ça, grâce au brillant titre de ce post, vous vous en seriez doutés avant même d’en lire l’intégralité.

Oui je sais c’est incroyable. Je vais essayer d’avoir un discours un peu intelligent, voire même engagé.

Bref, mardi soir, j’écoute Europe 1 (ouais je sais, je ferai mieux de virer FI, mais j’ai de vieux atavismes qui trainent). Et je tombe sur une interview d’André Santini par Guillaume Durand. Ce dernier l’interroge sur les difficultés actuelles de Rachida Dati. Au lieu de la réponse attendue (elle a beaucoup de pression, elle travaille comme une folle, c’est une femme de tête, et je ne sais quoi encore), il a endossé sa cape de super héros sur le mode : « mais il faut voir d’où elle vient ! Une famille de 12 enfants, pauvre, et elle s’en est sortie. Et grâce à Nicolas Sarkozy (pas à elle en fait, elle a rien glandé à l’école et elle a juste eu une chance folle de rencontrer nico-les-bons-tuyaux) elle est maintenant ministre ».

Donc voilà, Santini explique que les minitres du gouvernement ne sont pas là parce qu’ils sont compétents (ou pas…) mais parce qu’ils sont la caution bonne conscience de Sarkozy.

Le côté excité du 1er monsieur, à la limite, je m’en fous, mais le « nous on est des gens ouverts, on prend à droite, à gauche, black, blanc, beur », ça me dégoûte. Démago à mort. On s’achète une conscience. Un peu comme les gens qui disent « mais non je ne suis pas raciste, d’ailleurs, j’ai des amis arabes ». Ca dédouane, c’est facile.

J’adorerais connaître la réaction de Rachida Dati à l’écoute de ces propos assez odieux en fait.

A me lire en même temps, je me fais peur. On dirait quasiment du Guillermo (sans son talent de plume et sa connaissance parfaite de la politique bien sûr). Je me demande dans quelle mesure je ne suis pas plus crédible en parlant d’Hello Kitty, de Julien ou de chaussures. C’est vrai, c’est un peu comme si lui ce mettait à parler de ça.

Vivement demain, que je reprenne mes bonnes habitudes.

PS spécial pour Benoît : Christique

Je déchire en vélib

Je ne résiste pas au plaisir de vous présenter les prouesses qu’on peut faire en vélib.

http://fr.youtube.com/watch?v=afE44cHNkEg

Pour ceux d’entre vous qui seraient inquiets à l’idée que je puisse faire des galipettes en vélib, je tiens tout de suite à vous rassurer, c’est pas moi sur les vélib. Je rappelle que moi, le truc le plus dingue que j’ai fait sur ces engins, c’est le pousser à pieds dignement sur 500 m. rue Montorgueuil.

Bon alors sinon, j’ai un problème : impossible de configurer le blog avec YouTube. Quelqu’un sait-il faire ? Ouais, je sais, à l’heure du 2.0, du web participatif où tout le monde donne son avis, et bien moi, je n’arrive pas à mettre des vidéos dans mon blog en dehors d’un copier / coller d’URL. Oui je sais, c’est pas joli joli.

PS : merci 1000x à Julien, joyeux contributeur, pour cette référence.

Ma pénitente, Hello Kitty et les barrettes

voilà, c’est foiré.

Vous l’aurez noté, le vendredi est mon jour préféré pour poster sur mon blog. Enfin en tout cas pour les derniers. Le vendredi, c’est pratique : c’est la fin de la semaine, normalement, on a moins de boulot. Et puis je me sens à chaque fois hyper honteuse de ne pas avoir écrit. Du coup, cela libère mon esprit et hop, acculée, je tombe mon post. Souvent d’ailleurs je ne sais pas bien quoi écrire et puis ça s’impose à moi. Je ne fais pas le coup de l’angoisse de la page blanche mais bon… !

Donc toute la semaine dernière (semaine de super merde sous l’Eternel), je me disais « bon vendredi, pof, un post ». Et là, vendredi, ratage complet. Non seulement j’avais des tonnes de boulot, mais en plus, je préparais pour le soir un dîner « coupe du monde de rugby ». Donc pas une minute à moi. Et donc, pas de post.

Une vraie galère quoi. Et du coup, j’initie le post du lundi (remarquez, j’ai sûrement dû déjà poster un lundi, comme je ne suis pas non plus la sofres, je ne fais pas de stats précises sur le sujet) et ce qui est pas mal dans le post du lundi, c’est que je peux raconter mon WE  et ça, c’est toujours hyper intéressant.

Samedi, je nursais mes 3 adorables neveux que j’ai amadoués à coup de Mac Do et de Mika. Non pas qu’ils ont eu droit à un happy meal « take it easy » mais plutôt qu’on a mis le CD du sus-nommé à fond dans la voiture en allant au Mac Do et que du coup, ils chantaient et dansaient à fond les ballons. Ils adorent. En plus, divine surprise : le happy meal fille était hello kittysé. Du coup, j’en ai pris un moi aussi et j’ai donc maintenant une super mini valisette Kitty avec un mini stylo, des petites feuilles, des auto-collants et tout ce qu’il faut dedans. Je suis ravie car je ne me voyais pas bien piquer discrétement celui de Mathilde, qui pour l’occas, avait mis son TShirt éponyme. Une merveille cette petite.

Et puis y a un gros bouleversement dans la vie de Louis. Si vous avez bien suivi, Louis est le plus grand de ce trio infernal. Il a 7 ans et déjà assez rebel des cheveux (cf le post du 21/06). Et bien samedi, j’ai réussi à lui coller une barrette sur la tête, il était absolument adorable avec, et en partant de la maison, il m’a demandé s’il pouvait la garder. C’est pas la classe internationale ça ?

Donc après avoir nursé, j’ai dansé. Comme toujours, la fête de mes copines chéries Gwen et Béné était parfaite. Mention spéciale à mon DJ, particulièrement bien inspiré.  Et du coup, dimanche, j’ai losé toute la journée pour me remettre de cette folle nuit.

Heureusement que ma copine Alex était là pour me sortir de ma torpeur. Elle m’appelle sur le coup de 5h pour me tenir informée en live de la vie de …. ma NS, Julien !
En effet, il était tranquillement en train de boire un coup avec, tenez-vous bien, je name droppe, Fabrice Luchini, à une terrasse du 9ème. J’ai été à 2 doigts de sauter dans mes repettos pour les rejoindre (Alex et ses potes, pas JD et FL) mais bon, finalement, j’ai préféré suivre cet épisode de mon canapé. Je ne voulais pas non plus troubler leur conversation palpitante (car bien sûr Julien se serait souvenu m’avoir vu et clindoeillisé à la NS et cela lui aurait sûrement fait un coup de retomber sur moi comme ça par hasard, comme s’il se rendait compte qu’on était destiné, un truc dans le genre). Bref, Alex a joué les reporters sans frontières avec brio. Ceci dit, je n’ose même pas imaginer la complexité de leur conversation.

Comme quoi, même quand je ne compte pas parler de JD, y a un truc de la vie qui fait que. C’est dingue non ?

Sinon, ce soir, c’est lecture de ELLE. Et du coup, je pourrais même peut être poster demain pour vous livrer une analyse brillante (bien sûr) de ma lecture.